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La Belgique, qui a rejoint la coalition le 26 septembre, a annoncé qu’elle participerait aux frappes aériennes en Irak. Six avions F-16 belges basés à Chypre y seront affectés.

Le Royaume-Uni a rejoint la coalition anti-Etat islamique le 26 septembre. Le pays a opté pour un engagement minimal : des frappes aériennes, en Irak uniquement, et dans le but précis d’éliminer l’Etat Islamique. David Cameron a assuré qu’il n’élargirait pas les frappes à la Syrie sans un nouveau vote au Parlement. Les Anglais avaient précédemment livré des armes aux Kurdes.

Le Danemark a rejoint, en même temps que la Belgique et le Royaume-Uni, la coalition anti-Etat islamique le 26 septembre, affectant sept appareils danois à des frappes aériennes en Irak. Le pays avait déjà fait don de 3,8 millions de dollars au HCR.

 

Pays engagés dans des frappes aériennes en Irak

La Pologne s'est engagée à  livrer de l’équipement militaire.



L'Estonie fait partie de la coalition et s'est engagée à livrer de l'équipement militaire

 

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Pays engagés dans des frappes aériennes en Syrie

L’Allemagne a fourni des armes aux combattants kurdes en trois livraisons.

La France est le deuxième pays à s’être engagé militairement en Irak le 20 septembre sous l’impulsion des Etats-Unis. L’opération “Chammal” engage un total de neuf avions Rafale et 750 hommes basés aux Emirats arabes unis. Une force de frappe restreinte : en cherchant à assurer son autonomie, la France ne veut travailler que sur base de ses propres renseignements pour déterminer ses frappes aériennes. Elle échappe donc au commandement américain mais se prive également de ses informations. Depuis le 20 septembre, la France a réalisé deux opérations de frappes aériennes sur le territoire irakien. La France avait dans un premier temps livré des armes et de l’aide humanitaire aux Peshmerga, dans le nord de l’Irak. Le pays refuse pour le moment d’étendre ses frappes à la Syrie, mais la question “est posée”, selon le gouvernement. Aucun cadre légal ne justifie actuellement une intervention dans ce pays, à l’inverse de l’Irak.


L’Italie n’a pas l’intention de participer aux frappes aériennes, mais elle a acheminé des armes en Irak et propose d’envoyer de l’essence pour les avions de la coalition en activité en Irak.

 

 

 

L'Albanie s’est engagée à livrer de l’équipement militaire.